Habitat participatif Les Silènes
Notre raison d'être
Comme un guide vers l'avenir...
La raison d'être de ce collectif est de mettre en commun nos énergies pour créer ensemble un lieu de vie porté par les principes d'entraide, d'écoute et de partage. Dans la joie et l'accomplissement individuels et collectifs, ce projet respectueux du vivant tend à l'autonomie, à la sobriété et à la pérennité. Les co-habitant·es dans un état d'esprit bienveillant coopèrent sur le territoire.
Nos Valeurs
La vie du lieu
De l'ouverture à l'intime...
Il s’agit d’un habitat “chacun·e chez soi” avec des espaces communs. Ceux-ci sont utilisés en priorité par les co-habitant·es, mais peuvent être ouverts à l’extérieur dans certains contextes. Si l’espace le permet, il est envisageable d’exercer sa profession sur place.
Les communs ont vocation à le rester : entretien, gestion et nouveaux équipements. Ils sont avant tout des lieux dédiés au collectif mais seront aussi des espaces de travail, d’échanges, d’entraide, d’animations, d’activités de loisirs et festives.
Le collectif souhaite louer à la mairie des parcelles non constructibles (zones naturelles) alentour pour y installer des vergers, des cultures, un poulailler… avec des espaces “privés” et des communs également (champ de pomme de terre, petits fruits…). Pour tous les communs extérieurs, le collectif prévoit d’appliquer les principes de l’agroécologie.
La vie du collectif
Au cœur du projet, l'humain...
Le collectif se réunit toutes les semaines pour une réunion technique, précédée ou suivie d'un temps convivial. Chaque semaine c’est un·e animateur·trice différent·e qui gère l'ordre du jour et le timing. Les décisions sont prises par consentement mutuel et un·e secrétaire (rôle tournant également) est chargé·e de prendre les notes et consigner les missions et décisions dans des documents dédiés.
Une fois par mois, le collectif se retrouve pour un temps spécifique de “vivre ensemble” afin de créer du lien et mieux se connaître.
En parallèle, des commissions sont mises en place ("architecture", “bien vivre ensemble”, “statuts”, “sousous”...) pour avancer sur des thématiques en particulier. En général, il faut prévoir environ 3 à 4h de travail par semaine pour le collectif (réunion technique, commission, préparation de la réunion, etc).
Des outils de gestion des conflits, gestion des entrées et sorties, etc. sont également en cours d’élaboration ou déjà écrits.
Rien n’est figé, tout est évolutif !